"Depuis qu’elles sont connues, les pyramides du plateau de Gizeh - et leur voisin le Sphinx - n’ont jamais cessé d’exciter la curiosité des hommes. Ces édifices, aussi grands qu’énigmatiques, persistent imperturbablement à défier les savants et techniciens de nombreuses disciplines, par toutes les questions qu’ils suscitent encore, et de plus en plus précises. Des temps les plus reculés jusqu’à nos jours, faute de réponses solides ou du fait d’affirmations contradictoires, une polémique s’est installée, qui s’est enflée et radicalisée ; des milliers d’ouvrages et d’articles ont paru, des milliers de conférences furent données, de nombreux films ont été réalisés, pour faire connaître, illustrer, défendre ou attaquer les diverses positions et théories concernant l’identité des concepteurs et des bâtisseurs de ces édifices, leurs réels desseins, leurs moyens, l’époque de l’édification de ces monuments géants, leur utilité etc. Jamais en effet constructions n’ont motivé plus de recherches, de parutions, et d’efforts de compréhension. Actuellement, au plus âpre et au coeur de cette controverse, aussi virulente et vénéneuse que discrète, se trouvent les défenseurs de l’orthodoxie de l’égyptologie professionnelle, et les tenants de diverses théories de différentes qualités : des astronomes, des ingénieurs, des géomètres, des architectes, des historiens des sciences, et aussi bon nombre d’amateurs, appelés avec dédain et mépris "égyptomaniaques" ou "pyramidiots" par les égyptologues et la communauté scientifique en général. Les uns soutiennent dogmatiquement et en dépit des faits que les pyramides d’Égypte ne sont rien d’autre que des tombeaux, destinés à conserver le corps momifié d’un monarque ou d’un personnage de haut rang, afin que celui-ci puisse renaître, conformément à ce que l’on croit connaître de la religion des anciens Égyptiens. Les autres affirment qu’elles ne sont pas seulement des tombeaux, mais aussi et surtout des supports de ce qui était estimé impérissable dans la culture de ces époques, mais donné dans le secret sous une forme ésotérique, c’est-à-dire à voir et à entendre."
samedi 15 juillet 2017
"Le mystère Kheops", par Jacques Grimault
Présentation de l'étude par l'auteur :
"Depuis qu’elles sont connues, les pyramides du plateau de Gizeh - et leur voisin le Sphinx - n’ont jamais cessé d’exciter la curiosité des hommes. Ces édifices, aussi grands qu’énigmatiques, persistent imperturbablement à défier les savants et techniciens de nombreuses disciplines, par toutes les questions qu’ils suscitent encore, et de plus en plus précises. Des temps les plus reculés jusqu’à nos jours, faute de réponses solides ou du fait d’affirmations contradictoires, une polémique s’est installée, qui s’est enflée et radicalisée ; des milliers d’ouvrages et d’articles ont paru, des milliers de conférences furent données, de nombreux films ont été réalisés, pour faire connaître, illustrer, défendre ou attaquer les diverses positions et théories concernant l’identité des concepteurs et des bâtisseurs de ces édifices, leurs réels desseins, leurs moyens, l’époque de l’édification de ces monuments géants, leur utilité etc. Jamais en effet constructions n’ont motivé plus de recherches, de parutions, et d’efforts de compréhension. Actuellement, au plus âpre et au coeur de cette controverse, aussi virulente et vénéneuse que discrète, se trouvent les défenseurs de l’orthodoxie de l’égyptologie professionnelle, et les tenants de diverses théories de différentes qualités : des astronomes, des ingénieurs, des géomètres, des architectes, des historiens des sciences, et aussi bon nombre d’amateurs, appelés avec dédain et mépris "égyptomaniaques" ou "pyramidiots" par les égyptologues et la communauté scientifique en général. Les uns soutiennent dogmatiquement et en dépit des faits que les pyramides d’Égypte ne sont rien d’autre que des tombeaux, destinés à conserver le corps momifié d’un monarque ou d’un personnage de haut rang, afin que celui-ci puisse renaître, conformément à ce que l’on croit connaître de la religion des anciens Égyptiens. Les autres affirment qu’elles ne sont pas seulement des tombeaux, mais aussi et surtout des supports de ce qui était estimé impérissable dans la culture de ces époques, mais donné dans le secret sous une forme ésotérique, c’est-à-dire à voir et à entendre."
"Depuis qu’elles sont connues, les pyramides du plateau de Gizeh - et leur voisin le Sphinx - n’ont jamais cessé d’exciter la curiosité des hommes. Ces édifices, aussi grands qu’énigmatiques, persistent imperturbablement à défier les savants et techniciens de nombreuses disciplines, par toutes les questions qu’ils suscitent encore, et de plus en plus précises. Des temps les plus reculés jusqu’à nos jours, faute de réponses solides ou du fait d’affirmations contradictoires, une polémique s’est installée, qui s’est enflée et radicalisée ; des milliers d’ouvrages et d’articles ont paru, des milliers de conférences furent données, de nombreux films ont été réalisés, pour faire connaître, illustrer, défendre ou attaquer les diverses positions et théories concernant l’identité des concepteurs et des bâtisseurs de ces édifices, leurs réels desseins, leurs moyens, l’époque de l’édification de ces monuments géants, leur utilité etc. Jamais en effet constructions n’ont motivé plus de recherches, de parutions, et d’efforts de compréhension. Actuellement, au plus âpre et au coeur de cette controverse, aussi virulente et vénéneuse que discrète, se trouvent les défenseurs de l’orthodoxie de l’égyptologie professionnelle, et les tenants de diverses théories de différentes qualités : des astronomes, des ingénieurs, des géomètres, des architectes, des historiens des sciences, et aussi bon nombre d’amateurs, appelés avec dédain et mépris "égyptomaniaques" ou "pyramidiots" par les égyptologues et la communauté scientifique en général. Les uns soutiennent dogmatiquement et en dépit des faits que les pyramides d’Égypte ne sont rien d’autre que des tombeaux, destinés à conserver le corps momifié d’un monarque ou d’un personnage de haut rang, afin que celui-ci puisse renaître, conformément à ce que l’on croit connaître de la religion des anciens Égyptiens. Les autres affirment qu’elles ne sont pas seulement des tombeaux, mais aussi et surtout des supports de ce qui était estimé impérissable dans la culture de ces époques, mais donné dans le secret sous une forme ésotérique, c’est-à-dire à voir et à entendre."