Ce blog m'amène à faire de nombreuses rencontres fort enrichissantes, parfois amicales.
Par contre, au gré de mes lectures, je me trouve de temps à autre confronté à des propos qui me laissent perplexe.
Dernière surprise en date : un texte de Fernand Niel, dans son ouvrage Monuments mystérieux du monde (Fayard, 1979). Cet auteur a consacré un chapitre à la Grande Pyramide, avec notamment ce commentaire du célèbre texte d'Hérodote :
"Si les machines d'Hérodote ont fait travailler de la matière grise, elles n'ont certes pas fait travailler la nôtre. Son texte est si peu clair qu'il peut donner prise à plusieurs interprétations. Autant vaudrait chercher un sens positif à certains oracles de la sybille de Delphes. Nous rangerons donc les machines d'Hérodote au magasin des curiosités, au même titre que ses autres ragots, les outils en fer, Chéops obligeant sa fille à se prostituer, pour subvenir aux dépenses entraînées par la gigantesque construction (à combien devait se monter la passe ?), etc. Dans tout cela, le plus curieux est que le texte [d'Hérodote] ait été pris au sérieux par certains, lesquels sans aucun doute n'avaient pas mieux à faire." (op. cit. p. 172)
Par contre, au gré de mes lectures, je me trouve de temps à autre confronté à des propos qui me laissent perplexe.
Dernière surprise en date : un texte de Fernand Niel, dans son ouvrage Monuments mystérieux du monde (Fayard, 1979). Cet auteur a consacré un chapitre à la Grande Pyramide, avec notamment ce commentaire du célèbre texte d'Hérodote :
"Si les machines d'Hérodote ont fait travailler de la matière grise, elles n'ont certes pas fait travailler la nôtre. Son texte est si peu clair qu'il peut donner prise à plusieurs interprétations. Autant vaudrait chercher un sens positif à certains oracles de la sybille de Delphes. Nous rangerons donc les machines d'Hérodote au magasin des curiosités, au même titre que ses autres ragots, les outils en fer, Chéops obligeant sa fille à se prostituer, pour subvenir aux dépenses entraînées par la gigantesque construction (à combien devait se monter la passe ?), etc. Dans tout cela, le plus curieux est que le texte [d'Hérodote] ait été pris au sérieux par certains, lesquels sans aucun doute n'avaient pas mieux à faire." (op. cit. p. 172)
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