La théorie du professeur Davidovits sur la construction des pyramides d'Égypte en pierres de synthèse ré-agglomérées a été présentée sommairement ICI.
Corroborant cette théorie avec de "véritables preuves scientifiques", des expériences menées dans le cadre des activités de recherche de l'Onera (Office national d'études et recherches aérospatiales) par Gilles Hug, chercheur à l'Onera, et Michel Barsoum, spécialiste des matériaux à l'Université Drexel de Philadelphie, ont réussi à "faire parler les pierres" à partir d'échantillons dont l'examen (par spectométrie et diffraction électronique ou photonique) a permis de connaître les compositions élémentaires, d'identifier des microstructures cristallines ou des agrégats amorphes.
Corroborant cette théorie avec de "véritables preuves scientifiques", des expériences menées dans le cadre des activités de recherche de l'Onera (Office national d'études et recherches aérospatiales) par Gilles Hug, chercheur à l'Onera, et Michel Barsoum, spécialiste des matériaux à l'Université Drexel de Philadelphie, ont réussi à "faire parler les pierres" à partir d'échantillons dont l'examen (par spectométrie et diffraction électronique ou photonique) a permis de connaître les compositions élémentaires, d'identifier des microstructures cristallines ou des agrégats amorphes.
En conclusion, "il est apparu que les proportions d'éléments en présence ne sont pas celles des pierres des carrières exploitées, et surtout que les cristaux et agrégats en présence n'existent pas à l'état naturel dans les roches sédimentaires. (...) les échantillons ne sont pas de pierre sédimentaire mais bien synthétique. Et nécessairement, les Égyptiens maîtrisaient cette chimie particulière du ciment géopolymère, dont les composants (cendres, sels de Natron, chaux, calcaire, gypse...) étaient disponibles à proximité des constructions."
Source : Actualités de l'Onera, décembre 2006
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