Suite au post récemment publié sous le titre Relevé des récits relatant l'existence de fissures dans la Chambre du Roi : vers une argumentation sans faille !, "l'auteur d'une théorie alternative relative à la pyramide de Khéops" s'est évidemment reconnu. Et il s'est manifesté de diverses manières qu'il ne m'appartient pas ici d'apprécier.
Par respect de la déontologie journalistique que je revendique, je me dois de mentionner que ledit auteur a, de manière tout aussi prévisible, eu recours à son "droit de réponse", puisqu'il estime avoir été "sévèrement tancé", entre autres par l'auteur du post, moi-même en l'occurrence.
Ne souhaitant pas "encombrer" ce blog, conformément à la réserve que j'avais moi-même fixée dans ma note, il me demande d'y insérer un lien vers son propre site où figure le texte intégral de son droit de réponse. Dont acte ! Voir ci-dessous.
"Je précise, poursuit l'auteur concerné, que je n'ai rien contre toi et que je trouve que tu fais du très bon travail sur ton site ; ceci dit, je me devais de préciser ma position vis-à-vis des accusations faites à mon encontre. La polémique est clause pour moi vu que ces attaques m'ont permis de trouver encore une preuve supplémentaire."
"Rien contre toi", est-il écrit... C'est peut-être vite dit. Mais, pour reprendre la phrase par laquelle j'introduisais le sujet qui a déclenché cette tempête verbale, "Il est hors du propos de ce blog de susciter ou attiser la polémique".
Marc Chartier
Droit de réponse
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